Description

Nom scientifique : Commiphora wightii
Il est de petite taille et couvert d’épines. Récoltée grâce à de petites entailles dans l’écorce, cette résine s’utilise dans temples et les maisons pour des offrandes sacrées aux dieux. Son odeur balsamique rappelle la vanille à la fois douce, âpre et résineuse. C’est un  remède ayurvédique réputé dont les vertus astringentes et antiseptiques sont fort appréciées. Elle décuple l’énergie pitta. Elle sert à fortifier l’estomac et à agir contre les rhumatismes, elle est en outre diurétique  et en cas de maladies respiratoires, elle aide à dissoudre les mucosités et aide à guérir les catarrhes (infections). En médecine ayurvédique, le gugul est un bon remède pour les nerfs, et en onguent il s’applique sur les problèmes de sciatique ou d’arthrite, de fractures ou d’inflammations. Mélangé avec des feuille de sauge, il apaise les infections chroniques et de problèmes pulmonaires, la fumée de cette résine est un tonique des voies respiratoires et donc bénéfique pour les gros fumeurs et permet aussi de régénérer l’air ambiant des habitations citadines. C’est un remède universel en ayurvédique. Il aide l’âme a accéder à un état de bien-être, purifie l’aura et dissipe les interférences qui peuvent survenir lors de méditations et prières. On le brûle aussi en cas de stress, grande nervosité d’insomnie ou de manque de dynamisme. (Informations tirées entre autres du livre de Suzanne Fischer-Rizzi : « Le guide de l’encens »).